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Le Jazz club d'Annecy fête ses 20 ans du 5 au 7 décembre 2013!

Publié le par Guillaume Lagrée

 

Jazz Club d'Annecy

Haute-Savoie, Rhône Alpes, France

Du jeudi 5 au samedi 7 décembre 2013

 

La Savoie a une longue histoire d'amour avec le Jazz grâce au critique Maurice Cullaz que son ami Louis Armstrong appelait "  Smoothie " et son fils, contrebassiste,  Alby Cullaz.

Cette histoire se poursuit depuis 1993 à Annecy avec le Jazz Club qui fêtera ses vingt ans du jeudi 5 au samedi 7 décembre 2013 avec un festival qui fera swinguer le lac.

Au programme:

- jeudi 5 décembre, à 19h30, salle Pierre Lamy, hommage à Chet Baker avec projection de films sur Chet et un concert du trio de Robin Mansanti (trompette)

- vendredi 6 décembre, à 20h30, Bonlieu-Théâtre des Haras, concert du Cubain Roberto Fonseca (piano)

- samedi 7 décembre, à 20h30, Bonlieu-Théâtre des Haras, concert des Ponty père et fille en quartet: Jean-Luc au violon et Clara au piano.

Né à Avranches, dans la Manche, en Normandie, en 1942, Jean-Luc Ponty sortit du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris en 1960 avec le premier prix de violon. Déjà Miles Davis et John Coltrane l'avaient happé. Le Conservatoire ne put le conserver, le Jazz y gagna un soliste de haut vol, plus respecté aux Etats-Unis qu'en France, comme Michel Legrand. A Paris, à l'Olympia, en 1968, Jean-Luc Ponty partageait la scène avec Dizzy Gillespie et Jimmy Smith. Rien à ajouter.

 

 


 
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Chaud Acao! Irving Acao en concert au Sunside

Publié le par Guillaume Lagrée

Irving Acao

Paris. Le Sunside.

Samedi 23 novembre 2013. 21h.

 

Irving Acao: saxophone ténor, compositions

Leonardo Montana: piano

Felipe Cabreras: contrebasse

Lukmil Perez: batterie

 

La musique me rappelle le Herbie Hancock latino des années 60. Le sax attaque, un peu rêveur, à la Wayne Shorter. Ce n'est pas de la Salsa facile. La rythmique tourne, légère et puissante à la fois, oscillant comme un pendule. Le quartet repart et, nom de Zeus, ça pulse. Ca réchauffe par cette froide soirée de novembre. Il y a bien un air de danse latine mais sacrément enrichi. Résultat, ça s'écoute. Il n'y a pas la place pour danser au Sunside et, de toute façon, il faut être un excellent danseur avec une partenaire à la hauteur pour ne pas s'emmêler les pattes sur ces rythmes là. Irving Acao parle français avec un bel accent chantant. Ils jouent " Azabache " le premier album de ce quartet. Il s'agit d'une pierre noire dans laquelle on taille des porte-bonheurs. 

" Marco Polo y el pez ". Un petit air plaintif, dansant, mélancolique. Le batteur, très classe en costume cravate, mais qui grimace comme tout batteur qui se respecte. Beau solo de contrebasse au centre de la rythmique alors que le batteur malaxe aux balais. Solo de piano que ponctue le batteur passé aux baguettes. Une bonne vibration nous réchauffe. Le jeu de Lukmil Perez est vraiment cubain. Ce ne sont pas les mêmes rythmes qu'un batteur nord-américain. Pour comprendre la différence, voyez la démonstration de Dizzy Gillespie. Le quartet fusionne. Finie la ballade. Ca s'échauffe. Lukmil Perez joue comme un percussionniste cubain mais pas à mains nues sur une conga. Retour au calme pour le final. Beau voyage. Il est sûr qu'Irving Acao a beaucoup écouté Wayne Shorter mais il ne le copie pas.

" Atrifis ", c'est la façon dont le fils d'Irving désigne les feux d'artifice. Solo de contrebasse pour commencer. Le batteur tapote doucement, à mains nues. Un climat naît de ce dialogue contrebasse/batterie. Il fait très doux. Le pianiste pince les cordes de son piano. Ca vibre d'un bout à l'autre de la scène. La rythmique repart, claire et ferme. Il manque à mes côtés un fidèle abonné Béninois pour analyser la parenté de ces rythmes avec ceux de son pays natal. Heureusement, le contrebassiste nous donne des points de repère car ce qui se passe entre le pianiste et le batteur est sidérant. Ca relance sans cesse, dans tous les sens. irving Acao a repris la main avec une rythmique sans faille, d'une souplesse et d'une éactivité à toute épreuve. Elle le propulse plus vite, plus haut, plus fort avant qu'il ne calme le jeu d'un souffle.

" El poeta brasileno ". Morceau dédié à Leonardo Montana, poète brésilien du piano. Une ballade toute en douceur. Irving Acao écrit de jolies mélodies qui restent en tête sans vous la prendre. Le pianiste mérite bien son surnom de " poeta brasileno " qui va aussi à Cesarius Alvim. Le batteur est passé aux maillets pour obtenir une vibration plus intense de ses cymbales et de ses tambours. 

" Reflexion ". Un morceau plus vif, plus dynamique avec une sacrée tension piano/contrebasse poussée par le batteur aux baguettes. Puis le sax attaque, tranchant mais jamais brutal. Le batteur joue par au dessous et par en dessous de la mélodie tout en maintenant la pulsation. Il est en symbiose avec les envolées rythmiques du pianiste. Un tour de magie sonore et le quartet revient à la mélodie de départ. Dieux, que c'est bon! Le pianiste maintient la tension de la main gauche, avec le bassiste, alors que sa main droite l'allège. Le batteur fait rouler ses tambours en tout sens. 

PAUSE

La semaine de labeur fut rude et j'ai fait 5h32 de train pour venir à Paris aujourd'hui. Le concert s'arrête donc ici pour moi. Madame G et Monsieur S, enchantés, sont restés au deuxième set. J'ai enfin découvert Irving Acao. Il était temps! La chronique de son album " Azabache ", autoproduit, figurera bientôt sur ce blog. Profitez en déjà avec un extrait ci-dessous. Rien à ajouter.

 

 

 

 

 

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Radio Vinyle: une immersion dans la collection de disques vinyl de Radio France!

Publié le par Guillaume Lagrée

RECLAME

Tour Eiffel 

La photographie de la Tour Eiffel, le plus célèbre relais radio au monde, est l'oeuvre de l'Helvète Juan Carlos HERNANDEZ. Toute utilisation de cette oeuvre sans l'autorisation de son auteur constitue une violation du Code de la propriété intellectuelle passible de sanctions civiles et pénales.
 
 

Une immersion dans la collection de disques vinyles de Radio France !

 

 

Sur une idée originale de la discothèque de Radio France, cette série est née d’une étroite collaboration entre les radios du groupe Radio France,  la Direction des Nouveaux médias et la discothèque.


Avec la complicité d’un producteur/animateur, l'équipe de la discothèque prépare une sélection de pépites musicales qui sert de fil conducteur à l’interview, enregistrée et filmée au cœur de la collection de vinyles de Radio France (plus d'un million de disques). L’artiste pioche ensuite dans cette sélection et réagit à l'écoute des disques en évoquant sa vie, sa carrière, sa passion pour la musique… 


Ces rencontres inédites sont diffusées à l'antenne et proposées en vidéo sur le site de la chaîne partenaire et sur celui de Radio Vinyle.

 

Retrouvez Françoise Hardy au micro de Didier Varrod pour France Inter, Rodolphe Burger, Greil Marcus au micro de Thomas Baumgartner pour France culture, Placebo, MadlibPedro Winter au micro de Laura Leishman pour le Mouv’,Portishead au micro de Nico Prat pour le Mouv,  Bertrand Tavernier au micro de Thierry Jousse pour France Musique,Blanca LiHigelinArno au micro de Sylvie Chapelle pour France Inter ou encore Archie SheppAhmad Jamal, Ibrahim Maalouf au micro d’Alex Duthil pour France Musique

 

La discothèque de Radio France est organisée autour d’une plateforme musique de plus de 1.900.000 titres, d’une collection de plus de 450.000 disques vinyles et de 600.000 cd. Elle est aujourd’hui au cœur du processus de diffusion de la musique au service de France Inter, Fip, France Info, Le Mouv, France Bleu, France Musique, France Culture et des formations musicales de Radio France.

 

Rodolphe Burger et Olivier Cadiot en concert au Centre culturel suisse, à Paris, en février 2013 jouent et chantent le " Dadasophe ". Rien à ajouter.

 

 


 
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Festival CinéJazz à Paris du 19 au 29 novembre 2013

Publié le par Guillaume Lagrée

 

Festival CinéJazz

Paris

Du mardi 19 au vendredi 29 novembre 2013

 

Lectrices cinéphiles, lecteurs mélomanes, réconciliez vous avec le festival Cinéjazz qui aura lieu à Paris du mardi 19 au vendredi 29 novembre 2013.

Au programme:

- des concerts de Jazz dont une Leçon de CinéJazz par Antoine Hervé le mardi 19 novembre à 21h dans le grand amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne. La classe, forcément la classe.

- un festival de courts métrages. Ils sont visibles sur le site Internet du festival.

- un colloque universitaire sur les Esthétiques du Jazz au musée Dapper présidé par le professeur Gilles Mouellic de l'université de Haute Bretagne Rennes 2.

- des films sur le Jazz projetés à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris

J'en oublie sûrement.

Pour parrainer ce deuxième festival international du Jazz et du Cinéma, qui de mieux que Michel Legrand? 3 Oscars, 5 Grammy Awards, compositeur de standards du Jazz tels que " The windmills of your mind " (Oscar pour la musique de " The Thomas Crown affair " en 1968) et " What are you doing the rest of your life ? " qu'affectionnait Bill Evans, le seul Français qui ait dirigé deux fois Miles Davis (en 1958 pour " Legrand Jazz " et en 1991 pour la musique du film " Dingo " de Rolf de Heer, la regrettée Bernadette Laffont jouant l'épouse de Miles Davis).

 

Dans " Cléo de 5 à 7 " d'Agnès Varda (film culte pour Madonna!), " Bob " (Michel Legrand) et " Plumitif " (Serge Korber) créent, pour " Cléo " (Corinne Marchand), deux bijoux de chansons en 2mn46s: " La menteuse " puis " La joueuse ". Paroles d'Agnès Varda, musique de Michel Legrand. A savourer sans modération.

 


 

 

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Véronique Hermann Sambin " Roz Jériko "

Publié le par Guillaume Lagrée

 

 Véronique

Hermann Sambin

" Roz Jériko "

Art connecting. Rue Stendhal. SACEM. 2013

 

En concert à Paris, au Duc des Lombards, le mardi 7 et le mercredi 8 janvier 2014 à 20h et 22h.

 

Véronique Hermann Sambin: chant, paroles, musiques sauf " Dear West Indies " et " Linea negra " composés par Xavier Richardeau et " Roz Jériko " composé par Véronique Hermann Sambin et Xavier Richardeau.

Xavier Richardeau: saxophones soprano et baryton.

Tony Tixier: piano

Régis Thérèse: basse

Jean-Philippe Bordier: guitares

Andréas Neubauer: batterie

Arnold Moueza: percussions

Florence Naprix: choeurs

" Roz Jeriko " est un duo avec Alain Jean-Marie (piano).

Personnel détaillé sur l'album.

 

Lectrices sensuelles, lecteurs sensibles, voici l'album qu'il vous faut pour passer l'hiver au chaud.  " Roz Jériko " de Véronique Hermann Sambin. Contrairement à bien des chanteuses, elle ne se contente pas d'être belle. Elle a une voix et la fait entendre dans sa langue, le créole de Guadeloupe, écrit sa musique, ses paroles, dirige ses hommes. Bref, c'est une artiste pas une tête de gondole.    

Pour son premier album,  Véronique Hermann-Sambin s'est entourée de musiciens de qualité (Xavier Richardeau aux saxs, Tony Tixier au piano) d'une rytmique solide et inventive (basse, batterie, percussions), a même embauché le Maître du Jazz antillais, le pianiste que les Américains réclament quand ils viennent jouer à Paris, l'homme qui vous rend le piano mieux accordé après son concert qu'il ne l'était avant,  Alain Jean-Marie. Leur duo " Roz Jériko " ferait fleurir le désert.

Sur les 10 chansons, je suis charmé par les 5 premières qui culminent avec le duo piano/voix évoqué précédemment. Ca balance, c'est séducteur, séduisant, jamais mièvre ni guimauve. Les chansons 6 à 8 sont trop sucrées à mon goût mais l'album finit en beauté avec " Tanpérati " (n°9) et " Linéa Negra " (n°10) qui est une vraie invitation au voyage, en douceur. 

Ecouter Véronique Hermann Sambin, c'est décrocher le " Tiké Ganyan " (n°4)  à coup sûr. Pour tout ce qu'elle est et fait, " Mesi " (n°2) à Véronique Hermann Sambin.

Sur scène aussi, cette fille là, elle est terrible! La preuve avec son interprétation de sa chanson " Roz Jeriko" au Martinique Jazz Festival. Rien à  ajouter.

 

 
 

 

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Festival Jazzycolors 2013 à Paris: voyage aux frontières du Jazz

Publié le par Guillaume Lagrée

 

Festival Jazzycolors

Festival de Jazz des instituts culturels étrangers à Paris

Jusqu'au samedi 30 novembre 2013

 

Lectrices exploratrices, lecteurs voyageurs, si vous voulez découvrir la scène Jazz européenne actuelle du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest, en passant par le Mexique et l'Azerbaïdjan, sans quitter Paris, il faut vous rendre au festival Jazzycolors qui se tient jusqu'au samedi 30 novembre 2013 dans la capitale de la France.

Ne vivant plus à Paris, j'ai la chance d'avoir pu obtenir, rétribution matérielle du miltantisme comme disent les politologues, un CD promotionnel, interdit à la vente, qui réunit 27 morceaux de 27 artistes qui se produisent à Paris lors de ce festival.

Voici donc ma sélection ignoniminieusement personnelle et arbitraire parmi les artistes de haut vol qui composent cette escadrille.

Cela commence avec l'Enchanteuse belge Melanie de Biasio, entre Jazz et Folk, dans un monde dont elle a le secret et qu'elle nous ouvre et cela se termine par le Funk for life du Suédois Nils Lundgren composé et joué au bénéfice de camps de réfugiés en Afrique de l'Est. Que de richesses! Le Jazz n'est pas mort et il ne sent même pas mauvais, contrairement à ce qu'affirmait Frank Zappa.

Le pianiste tchèque Karel Ruzicka montre qu'il y a toujours quelque chose à dire seul au piano. Le guitariste et chanteur autrichien Wolfgang Muthspiel nous entraîne de façon légère, sexy, élégante. L'Islandais Tomas R.Einarsson revisite la musique latine, façon geyser scandinave alors que les Suédois de Frozen Gainsbourg rajeunissent notre Beau Serge national.

La Danoise Mette Jul démontre que la chanteuse de Jazz à l'ancienne n'est pas ringarde. Les Estoniens du Jaak Lutosja Quintet mettent le Jazz et la Java à la sauce Baltique alors que les Croates Matija Dedic et les Serbes du Serbian Jazz Bre prouvent que le Jazz balkanique n'est pas un feu de paille mais un feu de joie. 

Le trio du Polonais Maieje Fortuna reprend l'art du Prélude là où Chopin l'a laissé, le projetant vers l'avenir. Il n'y a pas que des banquiers au Luxembourg. La preuve avec le quartet de Max Bender

Est-il encore possible en 2013 de faire une jolie chanson d'amour en trio batterie/contrebasse/piano? Oui si c'est le Portugais Julio Resende qui joue " You taste like a song ".

La folie italienne de Francesco Cusa&The Assassins répond à la vision méditerranéenne des Grecs du Contextual Group et de leur " Thalassaki ".

Est-il possible de chanter funky et sexy en allemand? Si c'est possible! La preuve avec " Lift boy " des Allemands de Schultzing.

En bref, le programme du festival Jazzycolors est une invitation au voyage, à la découverte, à l'aventure. Touristes, s'abstenir.

 

Allons en Grèce avec un air traditionnel " Thalassaki " arrangé par le contrebassiste grec Petros Klampanis pour son Contextual Group. Bonne navigation en Mer Méditerranée, lectrices exploratrices, lecteurs voyageurs.

 

 


 

 

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Où écouter Jean-Charles Richard en novembre 2013?

Publié le par Guillaume Lagrée

     RECLAME

 

Splendides lectrices, superbes lecteurs, vous pourrez écouter le divin chauve Jean-Charles Richard souffler avec talent à tous les vents de la Corée du Sud, de l'Allemagne et de la France en novembre 2013.

La preuve ci-dessous.

 

Dimanche 10 novembre à 16h 

Yoenji hall of sori art center 

SEOUL (CORÉE) 

Aux Archipels du Pansori 

Min Hye SUNG (vx), Leonardo GARCIA (flutes), Arnault CUISINIER (ctb), 

Nicolas DEFLACHE (ordinateur), Hervé PEJAUDIER (Comédien), 

Jean Charles RICHARD (sop sax) 


Mercredi 13 novembre à 18h30 

Auditorium Jean Jaurès 

NEVERS 

Claudia SOLAL SPOONBOX 

Claudia SOLAL (voix), Benjamin MOUSSAY (Keyb.), Joe QUITZKE (dr) & Jean Charles RICHARD 

(saxs) 

 


Vendredi 15 novembre à 20h 

Jazz Klub 

Alter Schlachtof 7A, 76131 

KARLSRUHE (ALLEMAGNE) 

Bernard STRUBER Z’Tet 

Bernard STRUBER (gt, compos), Benjamin MOUSSAY (keyb), Bruno CHEVILLON (elec. Bass), 

EricECHAMPARD (dr), Serge HAESSLER (tp), Mike ALIZON (sax), Fred NOREL (violon), Ray 

HALBEISEN (alto sax) et Jean Charles RICHARD (bar-sop sax) 

 

Samedi 16 novembre 

COSNES SUR LOIRE David PATROIS Trio 

David PATROIS (vib.), Luc ISENMANN (batterie) et Jean Charles RICHARD (saxes) 


Lundi 18 novembre à 20h 

Café de la Danse 

5, passage Louis Philippe 

75011 PARIS 

01 47 00 57 59 

L’orchestre DANZAS de Jean Marie MACHADO Lagrima Latina 

Jean-Marie MACHADO (piano-compo), Claudia SOLAL, Simonetta SORO, Sofia RIBEIRO (voix), 

Cécile GRENIER (violon alto), Stracho TEMELKOVSKI (percussions, mandole), François THUILLIER 

(tuba), Joce MIENNIEL (flûtes), Didier ITHURSARRY (accordéon), Claus Stötter (trompette), Jean Charles 

Richard (saxophones) 

 

Jeudi 21 novembre PARIS Jean Charles RICHARD SOLO «FACES» Jean Charles RICHARD (saxophones)

Vendredi 22 novembre Théâtre Beaumarchais Av. des martyrs de la résistance 37400 AMBOISE 16€, 14€, 12€, 6€ 02 47 23 47 34 «La Fête à Boby» Par Jean Marie MACHADO & l’Orchestre DANZASAvec Jean Marie MACHADO (arrangements, piano), André MINVIELLE (voix, objets sonores), Didier ITHURSARRY (accordéon), Joce MIENNIEL (!ûtes), Jean Marc QUILLET (vibraphone), François MERVILLE (batterie), Gueorgui KORNAZOV (trombone), François THUILLIER (soubassophone), Jean Charles RICHARD (saxophones)

Samedi 23 novembre à 17h Auditorium du Conservatoire du 13ème Arrondissement PARIS 01 44 06 63 20 Carte Blanche à Jean Charles RICHARDdans le cadre de l’inauguration du Nouveau ConservatoireDuos et trios avec Claudia SOLAL (voix), Pauline BARTISSOL (violoncelle) et Jean Charles RICHARD (saxophones)

Du mardi 26 au vendredi 29 novembre L’Astrada Chemin de Ronde 32230 MARCIAC Résidence JIM & CIE, dirigé par Jean Charles RICHARDJean Charles RICHARD (direction artistique, compositions et saxophone soprano), Laurent COULONDRE (piano), Raphaël MATHEU (trompette), Alexandre GALINIE (saxophones), Louis NAVARRO (contrebasse), Rodolphe TISSINIER (trombone), Jérémy BERGES (batterie), Amaury CHAUMOND (guitare)

Samedi 30 novembre à 20h30 L’Astrada Chemin de Ronde 32230 MARCIACJIM & CIE, dirigé par Jean Charles RICHARD Dans le cadre des 20 ans des IMJJean Charles RICHARD (direction artistique, compositions et saxophone soprano), Laurent COULONDRE (piano), Raphaël MATHEU (trompette), Alexandre GALINIE (saxophones), Louis NAVARRO (contrebasse), Rodolphe TISSINIER (trombone), Jérémy BERGES (batterie), Amaury CHAUMOND (guitare)

 


Pour celles et ceux qui ne le connaissent pas encore, voici le " Spoonbox " de l'Enchanteuse Claudia Solal, avec Jean-Charles Richard, en concert pour France Musique, le 26 mars 2011. Comme disent les notaires: le mort saisit le vif!

 


 
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Les industries culturelles et créatives représentent 4 % du PIB de la France

Publié le par Guillaume Lagrée

 

 

 

Lectrices productrices, lecteurs créateurs, sachez que les industries culturelles et créatives représentent avec 1 200 000 emplois, 74 000 000 000 d'euros de chiffre d'affaires, 4% du produit intérieur brut de la France. C'est plus que l'industrie automobile et moins délocalisable. 

L'étude complète se trouve sur  Francecreative.

Et les Jazz(wo)men là dedans?

Deux devinettes américaines résument leur situation:

- Comment gagner 1 000 000 $ avec le Jazz? Commencez avec 3 000 000 $

- Quelle est la différence entre un guitariste de Rock et un guitariste de Jazz? Un guitariste de Rock, c'est 3 accords pour 100 000 spectateurs. Un guitariste de Jazz c'est 100 000 accords pour 3 spectateurs.

A moins, comme Martial Solal, de décrocher un jour le gros lot. Un mois d'août dans Paris vide, vous composez pour un réalisateur inconnu, Jean-Luc Godard, la bande originale d'un film bizarre avec des acteurs inconnus (Jean-Paul Belmondo, Jean Seberg) où apparaissent, en second rôle, des amis du réalisateur, tout aussi inconnus que lui (Daniel Boulanger, Jean-Pierre Melville). Tout le monde vous dit que le film fera un bide et, plus de 50 ans après, vous en vivez encore. Le film se nomme " A bout de souffle ".

 

 


 
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Cesarius Alvim expose ses toiles à Dinan (22) du 21 novembre au 8 décembre 2013

Publié le par Guillaume Lagrée

 

COMMUNIQUE

 

Césarius Alvim
« Bretagne, paysages imaginaires »

Exposition du jeudi 21 novembre au dimanche 8 décembre 2013
Vernissage le vendredi 22 novembre à partir de 18h - Entrée libre
Espace Armor Créations
1, rue Sainte Claire - 22100 DINAN. Bretagne, France.


Entre deux CD et deux expositions au Grand Palais à Paris dans le cadre du salon « Art en Capital », Césarius Alvim, compositeur, pianiste expose ses toiles à Dinan. 

Une de ses peintures, inspirée de la grève bretonne, illustre la pochette de son CD « Forever ». Album louangé sur ce blog.



Ce Brésilien désormais breton et dinannais nous invite à l’occasion de l’inauguration du nouvel espace artistique d’Armor Créations, à partager, à vivre un instant de bonheur autour de son exposition « Bretagne, paysages imaginaires ». Ses toiles sont inspirées par la Bretagne, son ciel, ses tempêtes, ses voiliers, ses ports…avec quelques éclats de couleurs chaudes de samba brésilienne. 


Espace Armor Créations : 
1, rue Sainte Claire - 22100 DINAN (Face au Théâtre des Jacobins). Bretagne, France.
Horaires : 10h à 12h30 et 14h à 19h en semaine, 10h à 19h le samedi
Tél : (0)2 96 8713 69 ; email : armor.creation22@gmail.com 

 

Quand Cesarius Alvim ne joue pas de contrebasse (les mélomanes se souviennent du trio Martial Solal/Cesarius Alvim/Daniel Humair), ne peint pas, il joue du piano en duo avec son ami Eddie Gomez (contrebasse) . Exemple ci-dessous extrait de leur album " Forever ". Rien à ajouter.


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