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Orléans Jazz du 21 juin au 2 juillet 2011

Publié le par Guillaume Lagrée

 

Tigran Hamasyan

 

La photographie de Tigran Hamasyan est l'oeuvre du Maritime Juan Carlos HERNANDEZ.

Le festival Orléans Jazz aura lieu du mardi 21 juin au samedi 2 juillet 2011 à Orléans, département du Loiret, région Centre en France.

Le programme est concocté par le pianiste et programmateur Stéphane Kochoyan dont les antennes grandes ouvertes captent les sons d'ici et d'ailleurs, d'hier, d'aujourd'hui et de demain. Que vous soyez puriste, touriste, novice, vous y trouverez de quoi vous rassasier, lecteurs et lectrices abonnés au Jazz et à l'Electricité.

Il y aura des concerts gratuits et des concerts payants, des vedettes et des inconnus à découvrir, des concerts en salle et des concerts en plein air. Des Argentins avec le Gotan Project, des Cubains avec Omara Portuondo, un Arménien avec Tigran Hamasyan, des Français avec Ceux qui marchent debout, des Africains Américains avec Bobby Mac Ferrin et Roy Hargrove. Pour en savoir plus, consultez le programme, saperlipopette!

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Dred Scott Trio en mission au Duc des Lombards

Publié le par Guillaume Lagrée

Dred Scott Trio

Paris. Le Duc des Lombards. Samedi 21 mai 2011. 20h.

Jochen Rueckert

 

La photographie de Jochen Rueckert est l'oeuvre du Percutant Juan Carlos HERNANDEZ.

Dred Scott: piano

Ben Rubin: contrebasse

Jochen Rueckert: batterie

Well you might, une variation sur Well you needn't de Thelonious Monk. Il y a deux jours, ce trio jouait à Cannes derrière Courtney Love, la veuve de Kurt Cobain. Such a sweet girl dit d'elle Dred Scott. C'est la première fois que j'entends Courney Love qualifiée ainsi. Pourquoi pas? C'est pêchu, viril, soudé dès les premières notes. Une sorte de Blues bien funky. Ces gars là savent swinguer. Pourquoi les serveuses sont-elles si minces au Duc des Lombards? Pour pouvoir se glisser entre les tables. Je ne vois pas d'autre explication possible. Le pianiste dirige mais c'est bien à trois qu'ils cavalent joyeusement.

Dobo. Surnom de Belina, ville de Californie. Ce n'est pas le chien " Bobo " dans les Simpson nous explique Dred. C'est une ballade un peu à la Bill Evans même si Dred ne joue pas dans ce genre là. Le batteur masse avec ses balais, le bassiste caresse ses cordes, le piano distille les notes. Ca berce. Cette ville est-elle si calme que cela? Ou donne t-elle tant de nostalgie? La contrebasse hausse le ton tout en douceur. C'est doux, chatoyant comme un foulard en soie.

It's time for the hard stuff. Le batteur est toujours aux balais. C'est plus énergique mais cela reste léger, fin. Le batteur passe aux baguettes. Ca pulse un peu plus fort mais sans rien brusquer. Solo de contrebasse. Batteur aux balais. Ca swingue. Ma jambe droite bouge toute seule. Mademoiselle F apprécie elle aussi. Dred aime finir en prolongeant la note avec la pédale. 

Sixty six six. 666, le chiffre de la Bête, celui du nombre de carreaux de la Pyramide du Louvre par ailleurs. Le Jazz est une musique diabolique (Devil's music), n'est ce pas? Le batteur est aux balais. Morceau vif., dynamique. Certes il y a un gros son mais ce sont là de gentils diables. Je ne vous raconte pas le show de Dred Scott pour présenter chaque morceau. Allez le voir en concert pour en profiter, sapristi! Batteur aux baguettes. Tout le monde chante avec eux, à intervalles réguliers: Sixty six, six. Morceau technique, ludique, diabolique. 

Don't fear the rapture. The Rapture c'est l'Assomption de la Vierge Marie pour les catholiques. Fête le 15 août, fête patronale de la France depuis le voeu de Louis XIII (certains esprits malicieux prétendent que ce n'est pas Dieu mais le cardinal Mazarin qui aida le Roi de France à avoir un fils mais c'est une autre histoire). Pour résumer, c'est une force extérieure, irrésistible qui vous emmène au Paradis avant le Jugement dernier. C'est bien l'effet que procure ce morceau. Ca sonne comme une chanson pop américaine, de la meilleure qualité. Avec un gros son, le sens de l'espace, du rythme. Un truc qui vous emporte, vous enlève comme son titre l'indique. Ca donne envie de se lever et de danser. Les Dieux savent qu'il est rare qu'un trio de Jazz produise un tel effet de nos jours. Cela devient emporté, orageux, cyclonique. Retour au calme avant que le thème ne revienne et nous emmène à nouveau très loi, très haut. Cela me fait penser à Keith Jarrett lorsqu'il jouait derrière Charles Loyd, un enchantement. Au centre, la contrebasse creuse dans le ventre. A gauche, la batterie casse les cailloux. A droite, le piano coule comme un torrent de montagne. 

Mother. Dred Scott sera père en juillet prochain. Cette chanson est extraite de l'album " The Wall " des Pink Floyd, qu'il est inutile de présenter. Jolie version. Ca change à la fois de l'original et des standards du Jazz.

Doggie and cookie dont une autre version live in concert illustre cet article. C'est une philosophie de vie. Soit vous êtes le chien qui mange le biscuit, soit le biscuit que mange le chien. Le batteur est aux maillets. C'est la chasse au cookie. Le chien a faim. Imaginez le joyeux bazar. Le batteur est repassé aux baguettes. Le Duc des Lombards a arrêté l'annonce genre embarquement dans un avion au début du concert. En français et en anglais. Avec la consigne d'applaudir comme dans les émissions de télévision avec public. C'est mieux pour l'ambiance. Autre progrès: les serveuses ne vous réclament plus de payer vos boissons pendant le concert. Solo puissant de contrebasse ponctué par un chaos enlevé de la batterie aux baguettes. Le pianiste revient dans la danse. C'est agité, tourmenté comme un chien qui a faim, prêt à tout pour manger les biscuits.

Swirling grimly. Un morceau qui tourne puissamment avec des breaks de batterie énergiques.

Mission accomplie pour le trio de Dred Scott au Duc des Lombards. Public conquis par la joie, la vitalité de cette musique. Il ne reste plus qu'à espérer qu'ils quittent le cadre clos des clubs parisiens pour s'ébrouer au grand air des festivals de Jazz en France de Bretagne en Provence.

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Jetez vous à l'eau avec le numéro de mai du BSC News

Publié le par Guillaume Lagrée

Jérôme Sabbagh

 

 

La photographie de  Jérôme Sabbagh est l'oeuvre du Méditerranéen Juan Carlos HERNANDEZ.

 

Lectrices sirènes, lecteurs dauphins, plongez dans un bain d'actualité culturelle fraîche avec le numéro de mai du magazine BSC News.

 

Vous y trouverez un vaste panorama de l'actualité du roman, de la bande dessinée, du théâtre. Quant à la musique, elle est représentée par un article de Damien Luce sur Borodine qui ne se résume pas à son quatuor, l'actualité de la Pop Music par Eddie Williamson et la rubrique Jazz Club ( à partir de la page 130) de mézigue illustrée par mon honorable associé, le photographe Juan Carlos Hernandez.

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Quelques concerts de Jazz à Paris en juin 2011

Publié le par Guillaume Lagrée

John Taylor

 

La photographie de John Taylor est l'oeuvre de l'Océanique Juan Carlos HERNANDEZ.

Estimables lectrices, respectables lecteurs, voici ma sélection personnelle, partielle et partiale de concerts de Jazz à Paris pour le mois de juin 2011. Sans oublier la Fête de la Musique le mardi 21 juin bien entendu.

Duc des Lombards:

Mercredi 22 juin à 20h et 22h, le duo Stéphane Kerecki (contrebasse), John Taylor (piano) pour fêter la sortie de son album "  Patience ". Ayant apprécié ce duo sur disque et en concert, je le recommande vivement à toutes les âmes sensibles.

Mardi 28 juin et mercredi 29 juin à 20h et 22h, le trompettiste New Orleans Terence Blanchard, compositeur des musiques des films de Spike Lee, sera sur scène en quintette. Do the right thing!

Sunside:

Mardi 21 juin à 21h le pianiste guadeloupéen Alain Jean Marie jouera gratuitement ses Biguine Reflections en trio pour fêter la Musique. N'oubliez pas de consommer des boissons au bar pour payer les musiciens.

Mercredi 22, jeudi 23, vendredi 24 juin à 21h le pianiste, chanteur, animateur, conteur Ben Sidran viendra en quartette faire vivre New York à Paris. Je me souviens y avoir amené une New Yorkaise. Elle se sentait comme à la maison.

Sunset:

Mercredi 15 juin à 21h30, trio du guitariste Savoyard William Chabbey. Un digne héritier français de Wes Montgomery

Auditorium Saint Germain des Prés:

lundi 20 juin, 19h30, Leçon de Jazz d'Antoine Hervé consacrée au Trombone dans le Jazz en duo avec Glenn Ferris, tromboniste. Le titre de ce blog étant un hommage à un Géant du Trombone, Jay Jay Johnson, je me dois de signaler cette Leçon et d'y assister.

Le Triton, Les Lilas, métro Mairie des Lilas:

vendredi 10 juin, à 21h, la pianiste Sophia Domancich  viendra jouer son album " Snakes and ladders " qui n'a pu vous échapper, fidèles lectrices, attentifs lecteurs.

samedi 11 juin, à 21h, le saxophoniste Guillaume Perret et son Electric Epic viendront vous raconter de bien étranges histoires.

vendredi 17 et samedi 18 juin à 21h, Médéric Collignon et son Jus de Bocse joueront " King Crimson ". Certes ce n'est pas du Jazz. So what? comme disait Miles Davis.

Ci-dessous, Guillaume Perret et son Electric Epic au Triton en 2010. Vous jugerez des évolutions accomplies par ces musiciens sur pièces et sur place le samedi 11 juin à 21h.

 


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Didier Levallet Quintet " Songes, silences "

Publié le par Guillaume Lagrée

 

 

Didier Levallet Quintet

" Songes, silences "

 

 
didier levallet: contrebasse, compositions
jan vanek: guitare
françois laizeau: batterie
sylvain rifflet: clarinette, saxophone
airelle besson: trompette

Enregistré au Palot, à Montbéliard, département du Doubs, région Franche Comté, France du 27 au 29 novembre 2006.

Produit par l'Allan, Scène nationale de Monbtbéliard.

sans bruit. 2011.

 

Je suis arrivé à Montbéliard en septembre 2000, quelques mois avent Didier Levallet. Lui venait diriger la Scène nationale de l'Allan. Je me souviens d'une soirée mémorable de lancement qui me fit découvrir Elise Caron au Palot, accompagnée aux contrebasses d'Henri Texier et Didier Levallet entre autres musiciens. Notamment d'une version de " Ne pleure pas Jeannette " qui me hante encore plus de dix ans après.
En 2006, au Palot, sans spectateur, Didier Levallet s'entourait de jeunes gens doués pour une musique éditée par sans bruit, un éditeur qui porte bien son nom. En effet, c'est de la musique, pas du bruit. Cela joue sur les silences, les accords, les couleurs. Certes, Didier Levallet vient de Charles Mingus sur lequel il écrivit un livre marquant avec Denis Constant Martin mais sa musique est policée, polissée, affinée, raffinée. 
C'est une musique où chacun a sa part, où le chef s'efface pour laisser place aux solistes. Je découvre ici Jan Vanek, guitariste aussi subtil et délicat à l'acoustique qu'à l'électrique. J'entends se confirmer le talent de Mademoiselle Airelle Besson. Il y a tant de trompettistes vieux, laids et qui la ramènent. Et puis il y a Airelle Besson, jeune, belle, talentueuse. Une douceur trompeuse qui vous marque, une finesse dans le jeu, la couleur de l'instrument très rare. Aucune épate, aucune esbroufe. Elle se trouve ici à la fois en terrain connu avec Sylvain Rifflet et inconnu avec ces compositions de Didier Levallet. Elle apporte ce supplément d'âme qui emporte la mise.
Faites le silence autour de vous. Laissez jouer cette musique. Entrez dans le jardin secret (n°2) du Quintette de Didier Levallet.
 
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so, now? bruno angelini mauro gargano fabrice moreau

Publié le par Guillaume Lagrée

 

so, now? ...

sans bruit. 2011.

bruno angelini: piano

mauro gargano: contrebasse

fabrice moreau: batterie

Bruno-Angelini.jpg

 

La photographie de  Bruno Angelini est l'oeuvre du Délicat Juan Carlos HERNANDEZ.

Je chanterai les louanges de trois hommes, d'un trio sans chef mais pas sans direction. Ici, Bruno Angelini, Mauro Gargano, Fabrice Moreau composent, interprètent, improvisent, produisent démocratiquement.

Quand ils ne jouent pas leurs oeuvres, ils ont le culot de s'attaquer à des standards aussi connus que Round Midnight (n°11), Nefertiti (n°10) qui évoque et prolonge l'oeuvre du Miles Davis Quintet, du Bill Evans (The two lonely people, n°5, Twelve tone tune, n°7), un morceau de Steve Swallow, un autre de Carla Bley. Bref, leurs influences vont du noir au blanc en passant par d'infimes et infinies variations.

Celles-ci se retrouvent dans leurs compositions. Le  Vert de Fabrice Moreau (n°9) est à comparer avec la version du trio de Jean Philippe Viret. Bruno Angelini chante Adrien (n°1) et Caroline (n°4: clin d'oeil à l'oeuvre de Sarah Murcia?).

Si je ne devais choisir qu'un seul morceau parmi les onze proposés à ma délectation, ce serait before 1903 de Mauro Gargano (n°6). La contrebasse dirige, impulse, mystérieuse, impérieuse alors que piano et batterie tournent autour. Le genre de morceau que vous écouterez en boucle, analyserez, décortiquerez pour en saisir le charme, en briser le mystère.

Peine perdue. Ce n'est pas là affaire de technique. " Le virtuose ne sert pas la musique, il s'en sert " (Jean Cocteau). Ce n'est pas le jeu de ces hommes là. Voici une musique de silence, de retenue, de mesure. La Grâce est avec eux. Ils nous l'offrent. Profitons en.

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Turbulences: festival de Jazz à Vanves du 26 au 29 mai 2011

Publié le par Guillaume Lagrée

 

 

Turbulence(s)

Festival de Jazz du jeudi 26 au dimanche 29 mai 2011.

A Vanves, département des Hauts de Seine, région Ile de France, en France.

Un festival de Jazz consacré aux jeunes musiciens de Jazz français, c'est suffisamment rare pour être signalé.

Guillaume Perret & Electric Epic, Oxydquintet, Tango Transit, Nagual Orchestra, Clotilde Rullaud, PMB Quartet, Florian Bellecourt Quartet, Orquestra Do Fuba...

Plusieurs avantages:

- d'abord, ce n'est pas cher. 15/12€ par soirée. 40€ pour le pass 4 soirées

- ensuite cela vous permet de découvrir des jeunes gens talentueux que vous ne voyez ni n'entendez  dans les mass media

- enfin cela vous permet de consommer localement tout en pensant globalement.

Pour vous donner des idées, lectrices curieuses, lecteurs avides de nouveauté, voici Guillaume Perret et son Electric Epic en concert au Triton en mars 2010. En avant, la musique!

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Jérôme Sabbagh en trio avec Paul Motian à New York le 25 mai

Publié le par Guillaume Lagrée

 

 

Jérôme Sabbagh

 

La photographie de  Jérôme Sabbagh est l'oeuvre du Cuivré  Juan Carlos HERNANDEZ

Pour ceux qui auraient raté le trio de Jérôme Sabbagh avec Ben Monder et Daniel Humair à Paris, ceux qui suivent leur album " I will follow You ", il ne vous reste plus qu'à vous précipiter  dans le quartier de Greenwich Village, à New York, Etats Unis d'Amérique, le mercredi 25 mai 2011 à 20h30 au Cornelia Street Café pour déguster serré le trio de Jérôme Sabbagh (saxophones) avec Ben Monder (guitare électrique) et Paul Motian (batterie).

Si Daniel Humair a battu derrière tout le monde depuis plus de 50 ans à Paris, il en est de même pour Paul Motian à New York.

A titre de comparaison, voici ce trio avec Daniel Humair lors de son dernier concert à Paris. Ceux qui ne connaissent pas la fée Morgane peuvent aller lui rendre visite dans la forêt de Brocéliande en Bretagne.

Bon voyage, aimables lectrices, charmants lecteurs.


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Dred Scott prepared piano

Publié le par Guillaume Lagrée

Dred Scott prepared piano

2009.

Dred Scott: piano préparé

Ouvrez un piano. Placez divers objets dans ses cordes: morceaux de papier, bouts de bois, ce qui vous tombe sous la main. Refermez. Laissez mûrir quatre mois. Ouvrez le piano, asseyez vous devant, posez vos mains sur le clavier. Jouez. Jouissez.

C'est ce qu'a fait le pianiste américain Dred Scott dans un appartement situé dans le quartier de Brooklyn à New York City, USA, entre novembre 2007 et février 2008. Dehors il fait froid, dedans il fait chaud. Le résultat publié en 2009 aux Etats Unis vient de me parvenir en France en 2011. Cela valait la peine d'attendre.

Comme la musique est improvisée, il y a des hauts et des bas. Peu importe. Ce qui compte ici, c'est l'envie, le jeu, la fantaisie de ce pianiste humoriste. Dred Scott est atteint d'une bonne maladie. Il ne peut pas s'empêcher de swinguer même sur un piano préparé. Cette musique va vous stimuler le cerveau, vous déranger, vous agacer, vous amuser, vous emporter. Partez avec elle, sans préjugé.

La pochette de l'album est une variation sur un tableau de Salvador Dali: " Hallucination partielle. Six images de Lénine sur un piano " (1931). Tableau aujourd'hui visible à Paris, au Centre Pompidou. Je laisse aux lectrice raffinées, aux lecteurs raffinés le soin d'examiner les liens entre la peinture de Salvador Dali( Avida Dollars selon André Breton) et la musique de Dred Scott.

Dred Scott sera en concert en trio à Paris au Duc des Lombards le samedi 21 mai à 20h et 22h. Soyez ici aussi.

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Le Mâle entendu à Paris au Petit Hébertot le lundi 30 mai

Publié le par Guillaume Lagrée

 

Edouard Ferlet

 

Le dessin d' Edouard Ferlet est l'oeuvre de la Féminine Hélène Poisson.

" On ne nait pas femme, on le devient " Simone de Beauvoir.

Et pour un homme, ça marche comment?

Pour le savoir, Nancy Huston, Canadienne et écrivain a interrogé trois hommes.

Jean Philippe Viret: contrebasse

Edouard Ferlet: piano

Fabrice Moreau: batterie

Leur entretien se poursuit sur scène, en public, en musique, au Théâtre du Petit Hébertot, 78 bis boulevard des Batignolles, 75017 Paris, le lundi 30 mai 2011 à partir de 20h30.

Allez écouter ce qu'ils en disent, en jouent. Puis discutez en avec eux, entre vous, lectrices curieuses, lecteurs ouverts.

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